L’espoir de la création d’un cinéma islamique
Gholam Hadad Adel, directeur de l’Institut de langue et de littérature iraniennes, et d’autres personnalités culturelles et artistiques participaient à cette cérémonie où Mohamad Reza Sarshar, responsable de l’institut littéraire, a déclaré que cet institut indépendant rassemblait des romanciers, des critiques littéraires et des spécialistes de toutes les branches des sciences humaines, et était supportée financièrement par les activités des membres du comité de direction.
« Le ministère de la culture a promis de donner une aide et nous espérons qu’il respectera sa promesse. Notre association rassemble actuellement 200 personnes dont certaines personnalités littéraires et politiques. Parler de Farajollah Salahshur qui est le porte-drapeau du cinéma et de la télévision en Iran, est difficile, je me demande comment il a pu sortir indemne de la guerre. Dès les années 80, dans la ligne de l’imam et du Guide, il s’est engagé dans les activités cinématographiques et le cinéma religieux et coraniques. Il a formé et forme encore actuellement, des cinéastes engagés et religieux pour que la lumière de la religion continue briller dans le cinéma», a-t-il dit.
Mansur Barahini, un ami de Salahshur, a déclaré qu’il le connaissait depuis trente ans et que ceux qui avaient préservé leur foi étaient les gagnants.
Salahshur a critiqué certaines tendances du cinéma actuel et le choix des récits qui doivent être selon le Coran, réalistes et éducatifs.
« Les récits coraniques sont très intéressants et édifiants, et je souhaite que Mohsen Mo’meni Sharif s’intéresse davantage aux jeunes qui travaillent dans le domaine du cinéma religieux », a déclaré Farajollah Salahshur qui a ensuite été récompensé pour ses travaux dans le domaine du cinéma religieux et révolutionnaire.
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